Polykystose rénale PKD
La polykystose,
est une maladie génétique, fréquente chez différentes races de chat, notamment le Persan, l’Exotic Shorthair, British Shorthair, Maine Coon , peu fréquente pour les autres races de chats. Cette maladie n'est pas reconue dans la race du Sacré de Birmanie. Hors, l'introduction du Persan dans la race par certains éleveurs nous à démontrée le contraire.
Cette affection se traduit par le développement progressif de kystes dans les reins, par la destruction du tissu rénal, par une insuffisance rénale pouvant provoquer la mort prématurée de l’animal. Les kystes peuvent également se développer sur le foie et le pancréas.
Le dysfonctionnement rénal apparaît entre 2 et 10 ans en fonction du rythme de croissance des kystes rénaux.
La polykystose rénale est une maladie monogénique. C’est-à-dire qu’elle implique un seul gène. Mais elle peut être également acquise c’est à dire ne pas dépendre d’un gêne)
Un test ADN existe dans le but de déterminer, dès la naissance, si un chat est sain ou atteint de PKD à partir d’un simple frottis buccal ou d’une prise de sang (fiabilité supérieure à 99%).
Deux situations sont alors possibles
• homozygote, le chat porte deux copies normales du gène : il est sain, ne développe pas la
maladie et ne transmet pas l’anomalie génétique à sa descendance.
• le chat est dit « hétérozygote » c’est-à-dire qu’il porte une copie normale et une copie défectueuse du gène responsable de la maladie: il est atteint, développe la maladie plus ou moins précocement et transmet l’anomalie génétique à la moitié de sa descendance.
Le dépistage précoce d’un chat atteint de PKD permet d’adapter son alimentation et d’appliquer éventuellement certains traitements préventifs afin de retarder et de limiter le
développement de l’insuffisance rénale.
Le dépistage précoce (test ADN et l’échographie rénale associés) permet également de sélectionner les reproducteurs, d’adapter les croisements afin d’éviter de reproduire des chatons atteints dans la descendance et de propager la maladie dans l’élevage ou la race.
Depuis nos débuts en 2002, nous avions pris l'initiative de tester nos reproducteurs et toute arrivée de nouvelle génétique. Nous avons pu constater la disparition d'élevages qui ne connaissait pas cette maladie génétique ou qu'ils l'avaient malheureusement sous estimée.
A ce jour, grâce à celà, nous n'avons eu aucun cas à déplorer sur toutes nos années d'élevage. Ce qui ne nous empêche pas de faire des tests de manière aléatoire, les derniers en dates étant sur un chaton d'une portée (juin 2020), ainsi que sur 2 chatons sur une autre portée (novembre 2020). Tests que nous tenons à disposition pour toute demande d'informations.
La chatterie est indemne de PKD
Le dysfonctionnement rénal apparaît entre 2 et 10 ans en fonction du rythme de croissance des kystes rénaux.
La polykystose rénale est une maladie monogénique. C’est-à-dire qu’elle implique un seul gène. Mais elle peut être également acquise c’est à dire ne pas dépendre d’un gêne)
Un test ADN existe dans le but de déterminer, dès la naissance, si un chat est sain ou atteint de PKD à partir d’un simple frottis buccal ou d’une prise de sang (fiabilité supérieure à 99%).
Deux situations sont alors possibles
• homozygote, le chat porte deux copies normales du gène : il est sain, ne développe pas la
maladie et ne transmet pas l’anomalie génétique à sa descendance.
• le chat est dit « hétérozygote » c’est-à-dire qu’il porte une copie normale et une copie défectueuse du gène responsable de la maladie: il est atteint, développe la maladie plus ou moins précocement et transmet l’anomalie génétique à la moitié de sa descendance.
Le dépistage précoce d’un chat atteint de PKD permet d’adapter son alimentation et d’appliquer éventuellement certains traitements préventifs afin de retarder et de limiter le
développement de l’insuffisance rénale.
Le dépistage précoce (test ADN et l’échographie rénale associés) permet également de sélectionner les reproducteurs, d’adapter les croisements afin d’éviter de reproduire des chatons atteints dans la descendance et de propager la maladie dans l’élevage ou la race.
Depuis nos débuts en 2002, nous avions pris l'initiative de tester nos reproducteurs et toute arrivée de nouvelle génétique. Nous avons pu constater la disparition d'élevages qui ne connaissait pas cette maladie génétique ou qu'ils l'avaient malheureusement sous estimée.
A ce jour, grâce à celà, nous n'avons eu aucun cas à déplorer sur toutes nos années d'élevage. Ce qui ne nous empêche pas de faire des tests de manière aléatoire, les derniers en dates étant sur un chaton d'une portée (juin 2020), ainsi que sur 2 chatons sur une autre portée (novembre 2020). Tests que nous tenons à disposition pour toute demande d'informations.
La chatterie est indemne de PKD